lundi 8 septembre 2008

Chefs d'administrations rurales à traiter PMR organes représentatifs du pouvoir

Les chefs des administrations des villes et villages de la Transnistrie, sont les deux présidents des conseils locaux des députés du peuple seront affectés au système des organes représentatifs du pouvoir.

Ceci a été rendu possible après l'autre en Mars 2007, la Cour constitutionnelle a décidé que, conformément au paragraphe 2 de l'article 77 de la Constitution LDP, le chef du village de l'administration (règlement) n'est pas inclus dans l'exécutif, dirigé par le président.

Dans le verdict COP a noté que le chef de l'administration publique village (canton) symbolise l'autorité locale et dirige l'administration publique, l'exercice des responsabilités qui lui incombent par la loi à mettre en œuvre les pouvoirs du gouvernement local dans le village (canton). Il n'est pas au sein du système des organes du pouvoir exécutif, dirigé par le président.

Depuis lors, cependant, lieu ces chapitres dans le système de gouvernement n'a pas été identifié, il se trouve en milieu rural (le village) l'administration étaient dans les limbes sans être identifiés comme étant soit l'exécutif ou les organes délibérants.

Pour cette raison, le comité du Conseil suprême LDP proposé un projet de loi prévoyant l'intégration de ces autorités locales dans le système de gouvernement représentatif. Mais l'exécutif a une conclusion négative à cette initiative.

Ainsi, selon le représentant du Ministère de la Justice Stanislaw Grigoritsy, la meilleure option serait de laisser ces organes est totalement indépendant. "Je le village (canton) l'administration rester dans sa forme actuelle et il est directement subordonné à la loi, les tribunaux et le bureau du procureur", - il a suggéré.

Députés Comité sur la législation, dirigé par Galina Antyufeevoy n'était pas d'accord avec ces arguments, a pris le projet de loi dans son éditorial, c'est de décider d'inclure l'administration rurale dans le système de gouvernement représentatif, et a recommandé son adoption par la plénière, brisant le droit de veto, si nécessaire, le chef de l'État.

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